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LE GENTLEMEN’S AGREMENT, LA SEULE RÈGLE QUI VAILLE

On ne le dira jamais assez, Dieu n’aime pas les traîtres ! Beaucoup de choses se seraient passées dans notre pays le Sénégal voici quelques années. Beaucoup de cas d’école pourraient nous servir d’exemples pour renforcer notre foi en Dieu. Mais le cas le plus illustratif aura été celui du président Ousmane Sonko et du Pastef.

Calomnies, bâtons dans les roues, agressions, menaces, stigmatisations, harcèlements policiers et judiciaires… jamais un leader politique n’aura été autant éprouvé qu’Ousmane Sonko. Curieusement, son étoile n’en sera jamais affectée ! Au contraire, elle continue de briller et d’illuminer les cœurs et les esprits des Sénégalais. Dieu est toujours du côté des endurants et Ousmane Sonko, Guy Marius Sagna, Barthélémy Dias, Khalifa Sall… sont de ceux-là.

Cette belle percée de l’opposition est une réponse sèche de Dieu en guise d’avertissement sur nos manquements. Dieu aura bien voulu choisir un leader charismatique nommé Ousmane Sonko. Il est du devoir des créatures de savoir lire entre les lignes des signes que ne cesse de nous envoyer Dieu, notre Créateur. Continuez à persévérer dans vos postures de calomnies et de provocations dans le seul but de détruire un opposant. Plus précisément, celui que Dieu aura recommandé aux Sénégalais particulièrement à la jeunesse : Ousmane Sonko pour ne pas le nommer. Quand l’heure de la vérité sonne, le mensonge, la tortuosité et la bassesse sont relégués au second plan. Voici plus de soixante (60) ans que notre Assemblée nationale aura toujours obéi aux injonctions de l’exécutif au détriment du peuple.

Pour une fois, ce peuple va effectivement vivre confortablement avec la cohabitation. Cette situation politique ne court pas souvent les rues en Afrique. Notre pays, le Sénégal, pourrait se glorifier d’avoir été le premier à vivre cette grande expérience démocratique. Que Benno Bokk Yakaar (Bby), parti au pouvoir, sache raison garder. Désormais, rien ne sera plus comme avant. On ne peut pas arrêter les vagues déferlantes des réseaux sociaux avec les bras. Les mentalités évoluent et, d’ailleurs, elles ont beaucoup évolué. Les Sénégalais savent observer même s’ils ont le grand défaut de toujours laisser faire. Ils savent sanctionner aussi ! Benno Bokk Yakaar l’avait appris à ses dépens lors des locales.

Bis repetita pour les élections législatives où, selon les tendances, l’opposition majoritaire autour de l’intercoalition Yeewi Askan Wi (Yaw) et Wallu va tordre le bras au parti au pouvoir pour lui imposer une cohabitation. Une aubaine pour notre démocratie. Aux vaincus d’être des gentlemen pour surtout éviter de gripper nos institutions. Ils doivent jouer franc jeu pour l’intérêt supérieur de la Nation. Après le régime parlementaire dès les années 1960, celui présidentiel est au perchoir avec trop de pouvoirs dans l’escarcelle du président de la République. Le changement imminent s’impose. Gare à ceux qui rateront le virage.

Selon la Constitution française !

La cohabitation désigne la coexistence institutionnelle entre un chef de l’État et un chef du gouvernement (issu de la majorité parlementaire) politiquement antagonistes. La «cohabitation» désigne la conjoncture politique dans laquelle le président de la République et la majorité des députés sont de tendances politiques opposées. Le Gouvernement étant responsable devant l’Assemblée nationale (art. 20, al. 3, 49 et 50 de la Constitution du 4 octobre 1958), le président de la République a vocation à nommer à la tête de ce Gouvernement une personnalité qui puisse avoir l’appui de la majorité à l’Assemblée nationale.

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