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NOUVEL AN, ET SI DIEU N’ACCEPTAIT PAS TOUS LES VŒUX

Depuis deux ans, la COVID-19 avait imposé son tempo dans les églises du monde : port de masques bilgatoire, exigence de distanciation sociale, non serrage de mains banissement d’accolades et d’embrassade. Mais cette année une certaine normalité semble revenir. 

 Les fidèles chrétiens ont eu l’opportunité de revivre leur dernière eucharistie de l’année comme lors des périodes d’avant COVID-19. C’est le cas à l’Église des Martyrs de l’Ouganda de Dakar qui a fait salle comble.  Une messe joyeuse animée par la coordination des chorales de la paroisse, notamment la chorale Daniel Brothier.  Les fidèles en sont satisfaits et l’expriment.

Au cours de cette eucharistie, un rappel important a été fait aux fidèles quant à la formulation de leurs vœux par le père Simon-Père Sagna, curée de la paroisse. La présentation des voeux est devenue une routine aussi bien pour les institutionnels que  dans le cadre des relations interpersonnelle.  Mais l’on ne doit pas se contenter de présenter des voeux de manière mécanique.  

Formuler des vœux, c’est sans nul doute faire une prière pour celui qui les reçoit. Partant, le cœur doit être léger et ouvert pour que cette prière puisse agir. En sous-texte, à cela, c’est l’idée du pardon qui est aussi mise en exergue. Si ce n’est pas le cas à quoi bon?

Dans quel état d’esprit faut-il être pour présenter les vœux ? Tous les vœux sont-ils logés à la même enseigne ? Quels sont les vœux qui plaisent à Dieu et qui apaisent l’Homme. En d’autres termes quels sont ces vœux qui sont bons aussi bien pour l’émetteur que pour le destinataire des desdits vœux? 

Voici les réponses de l’abbé Simon Pierre Sagna dans ce reportage AfricaGlobe Tv.  

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